Non au chaos des déchets : exigeons un retour au porte-à-porte !

Le nouveau système de collecte par « points d’apport volontaires » est un fiasco : factures en hausse, insalubrité grandissante, nuisibles en augmentation… et tout cela pour un service dégradé ! Fumel et ses environs méritent mieux. Rejoignez-nous pour exiger une solution plus juste, plus propre et plus efficace !

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Les 3 raisons d’un refus massif

PRIX EN hausse

Une augmentation injustifiée : jusqu’à 226 % de hausse pour certains foyers, sans amélioration du service. Où passe notre argent ?

Services en baisse

Moins de services, plus de contraintes ! Désormais, chaque foyer doit stocker ses déchets et se rendre aux points de dépôt, sans garantie de propreté ou de praticité.

Discriminant

Tout le monde n’a pas la possibilité de se déplacer facilement. Cette réforme pénalise directement les plus vulnérables et renforce les inégalités.

En chiffre

Une fausse bonne idée qui vous a coûté

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Quand un projet coûteux engendre plus de nuisances qu’il n’en résout, il faut réagir. Acceptons-nous vraiment de financer un système inefficace et injuste ?

vos Témoignages

Ce nouveau système vous complique la vie ? Faites-le savoir ! Partagez vos photos et témoignages pour montrer la réalité du terrain. Contactez-nous ici.

contact@fumel-poubelles.fr

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R****Témoignage
Votre témoignage ici!

Foire aux questions

Cette section rassemble les réponses aux questions les plus posées sur le nouveau système. Si vous ne trouvez pas votre réponse, contactez-nous !

Combien a coûté l'installation ?

L’installation du nouveau système de collecte par points d’apport volontaires a coûté 4,5 millions d’euros. Un investissement conséquent qui inclut l’achat et l’installation des nouvelles bornes de dépôt, la mise en place des infrastructures associées et les frais de communication liés à la transition. Malgré cette dépense, les habitants subissent une augmentation de leur facture et une dégradation du service.

La hausse de votre facture résulte de plusieurs changements introduits par le nouveau système. Désormais, la taxe de collecte a été fixée à 205€ par an, soit une augmentation significative par rapport à l’ancien système. À cela s’ajoute un abonnement minimum de 40€ pour la gestion des points d’apport, ce qui permet de déposer jusqu’à 16 sacs de déchets par an. Ce modèle impose donc une participation financière plus élevée pour un service qui reste bien inférieur à celui offert précédemment, où le ramassage se faisait en porte-à-porte et était plus souple pour les usagers.

Ce changement a été décidé dans le but de réduire la quantité de sacs noirs collectés et ainsi éviter la saturation rapide du site de Montflanquin, qui est sur le point d’atteindre sa capacité maximale. L’idée était de favoriser le recyclage et de limiter l’enfouissement des déchets non recyclables. Cependant, ce système de collecte par points d’apport volontaires a été mis en place sous l’impulsion de Didier Caminade, avec le soutien des maires des communes voisines. Malgré les bonnes intentions derrière ce projet, les conséquences pour les habitants, notamment l’augmentation des coûts et la dégradation du service, soulèvent de nombreuses inquiétudes.

Vous pouvez avertir la mairie, prendre en photo pour nous aider à documenter le problème et bien entendu chercher un autre point d’apport libre.

Si des dépôts sauvages apparaissent près de chez vous, il est important de ne pas les ignorer. Voici ce que vous pouvez faire :

  1. Signaler immédiatement à la mairie : Informez les autorités locales afin qu’elles puissent intervenir rapidement pour nettoyer et traiter le problème.
  2. Prendre des photos : Cela peut aider à documenter la situation et faciliter le suivi de l’incident.

Les dépôts sauvages sont un véritable fléau pour la ville et l’environnement, mais un signalement rapide permet d’y remédier efficacement.

Si vous souhaitez contester la réforme du système de collecte des déchets, plusieurs recours sont possibles :

  1. S’adresser à votre mairie : La première étape consiste à faire part de vos préoccupations aux autorités locales. 
  2. Contacter les élus locaux : Si vous estimez que vos préoccupations ne sont pas prises en compte, vous pouvez également contacter les conseillers municipaux ou intercommunaux pour faire pression et demander un réexamen de la réforme.
  3. Engager une action collective : Vous pouvez nous rejoindre et dès à présent signer et partager la pétition déjà existante.
  4. Recours juridique : En dernier recours, il est possible de consulter un avocat spécialisé pour déterminer si la réforme contrevient à certaines lois ou droits des citoyens. 

Ces recours permettent de faire entendre votre voix et d’exiger une révision du système.

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